Série "Intime-Extime" - Iceland

She drives alone #1

info
×
Série "Intime-Extime" - Iceland

She drives alone

info
×
Série "Intime-Extime" - Iceland

She drives alone #2

info
×
Série "Intime-Extime" - Iceland

She drives alone

info
×
Série "Intime-Extime" - Iceland

She drives alone #3

info
×
Série "Intime-Extime" - Georgie

She drives alone

info
×
Série "Intime-Extime" - Iceland

She drives alone #4

info
×
Série "Intime-Extime - Arménie

She drives alone

info
×
Série "Intime-Extime" - Britany

She drives alone #5

info
×
Série "Intime-Extime" - Georgie

She drives alone

info
×

She drives alone

info
×
Série "Intime-Extime - Arménie

She drives alone

info
×

She drives alone #6

info
×
Série "Intime-Extime - Arménie

She drives alone 

info
×

She drives alone 

info
×
Série "Intime-Extime - Arménie

She drives alone

info
×

She drives alone 

info
×
Série "Intime-Extime - Arménie

She drives alone 

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone #7

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone #8

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone #9

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone #10

info
×

She drives alone 

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone #11

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone

info
×

She drives alone #12

info
×

She drives alone #13

info
×

Vivre de paysage : du perceptif à l'affectif ... 
"Il y a paysage quand je ressens en même temps que je perçois ; ou disons que je perçois alors du dedans comme du dehors de moi-même - l'étanchéité qui me fait tenir comme sujet indépendant s'estompe. Dans ce qui fait paysage, ce n'est pas l'humain qui me touche, ni non plus négativement l'inhumain, mais le non-humain qui n'est, comme tel, aucunement résorbable, qui ne peut être objet du désir et qu'on ne peut consommer. En quoi "beau", par sa gratuité, déconnectant le plaisir de l'intérêt, peut retrouver là un bout de justesse. Ce qui fait paysage est que cette extériorité (...) non seulement se laisse percevoir intérieurement, mais, plus encore, fait découvrir dans cet "intérieur", au fond d'un "soi", une intériorité qu'on ne soupçonnait pas (...) Un paysage nous "touche" parce qu'il fait éprouver, de sa pure extériorité, un plus intérieur de soi (que "soi"), révélant mon intime. " François JULLIEN - Vivre de paysage ou L'impensé de la raison 

Using Format